Selon leur avocate, Me Aka Seripka Roselyne , ils sont poursuivis pour des faits d'appel à ''l’insurrection, trouble à l’ordre public et inobservation d’une décision du Conseil constitutionnel''.
Le 8 septembre dernier, le Conseil constitutionnel avait invalidé les candidatures à la présidentielle du 25 octobre prochain de 55 personnalités dont Laurent Gbagbo, l'ex-chef de l''Etat (2000-2011), président du PPA-CI.
Or, selon l'article 138 de la Constitution ''les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours et s’imposent à toutes les institutions, autorités publiques et citoyens''.
L'article précise, également, qu’ ''il est explicitement interdit à l’administration publique, y compris les préfets, d’autoriser ou d’encadrer toute marche, manifestation ou initiative visant à remettre en cause l’autorité ou les décisions du Conseil constitutionnel .".
Depuis cette décision du juge des élections, le PPA-CI par la voix de ses membres et cadres dont les mis en cause, projette une marche de protestation le samedi 4 octobre contre ce qu'il qualifie de "4è mandat" du Président Alassane Ouattara dont la candidature a été retenue avec celle de quatre autres personnalités par le Conseil constitutionnel.
Dans un communiqué consulté par l'agence de presse Top News Africa, mardi en début de soirée, le PPA-CI, parti de Laurent Gbagbo dénonce l'arrestation de ses deux cadres jugée "arbitraire et injuste'', évoquant "un affront aux libertés individuelles et aux droit d'expression politique ".
Le 8 septembre dernier, le Conseil constitutionnel avait invalidé les candidatures à la présidentielle du 25 octobre prochain de 55 personnalités dont Laurent Gbagbo, l'ex-chef de l''Etat (2000-2011), président du PPA-CI.
Or, selon l'article 138 de la Constitution ''les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours et s’imposent à toutes les institutions, autorités publiques et citoyens''.
L'article précise, également, qu’ ''il est explicitement interdit à l’administration publique, y compris les préfets, d’autoriser ou d’encadrer toute marche, manifestation ou initiative visant à remettre en cause l’autorité ou les décisions du Conseil constitutionnel .".
Depuis cette décision du juge des élections, le PPA-CI par la voix de ses membres et cadres dont les mis en cause, projette une marche de protestation le samedi 4 octobre contre ce qu'il qualifie de "4è mandat" du Président Alassane Ouattara dont la candidature a été retenue avec celle de quatre autres personnalités par le Conseil constitutionnel.
Dans un communiqué consulté par l'agence de presse Top News Africa, mardi en début de soirée, le PPA-CI, parti de Laurent Gbagbo dénonce l'arrestation de ses deux cadres jugée "arbitraire et injuste'', évoquant "un affront aux libertés individuelles et aux droit d'expression politique ".
HS/Top News Africa
Publié le mardi 30 septembre 2025