Intitulé “La mort nous guettait : Vivre dans des localités assiégées au Burkina Faso,” ce rapport dénonce les atteintes aux droits des habitants des zones assiégées de cultiver leurs terres et d’élever du bétail et limitent leur accès à la santé et à l’éducation, contraignant des dizaines de milliers de personnes à quitter leurs lieux de résidence.
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Selon Samira Daoud, directrice du programme Afrique de l’Ouest et Afrique centrale à Amnesty International, ces groupes armés ‘’attaquent également des convois de ravitaillement, ce qui touche de manière disproportionnée les civils. Au Burkina Faso, une personne sur 12 a été contrainte de quitter son foyer à cause du conflit armé’’, soutient-elle.
Le rapport apprend qu’en juillet 2023, au moins 46 localités subissaient un siège par des groupes armés au Burkina Faso.
‘’Cette stratégie, employée pour la première fois en 2019 mais devenue une caractéristique du conflit depuis 2022, se définit par l’utilisation de postes de contrôle sur les principales voies de sortie, la pose d’engins explosifs improvisés pour limiter le trafic et des attaques occasionnelles contre des civils, des soldats et des convois de ravitaillement. Ces sièges touchent environ un million de personnes’’, comptabilisent les rédacteurs du rapport.
Pour Amnesty International, la vie de millions de personnes est en jeu dans ce pays de l’Afrique de l’Ouest de 22 millions d’habitants. La communauté internationale, poursuit l’Organisation, doit redoubler d’efforts pour que les responsables de crimes de guerre et d’atteintes aux droits humains soient traduits en justice.
Car, les Burkinabè ont le droit de vivre en sécurité et dans la dignité, et méritent un futur plein de promesses, estime Amnesty international.
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Selon Samira Daoud, directrice du programme Afrique de l’Ouest et Afrique centrale à Amnesty International, ces groupes armés ‘’attaquent également des convois de ravitaillement, ce qui touche de manière disproportionnée les civils. Au Burkina Faso, une personne sur 12 a été contrainte de quitter son foyer à cause du conflit armé’’, soutient-elle.
Le rapport apprend qu’en juillet 2023, au moins 46 localités subissaient un siège par des groupes armés au Burkina Faso.
‘’Cette stratégie, employée pour la première fois en 2019 mais devenue une caractéristique du conflit depuis 2022, se définit par l’utilisation de postes de contrôle sur les principales voies de sortie, la pose d’engins explosifs improvisés pour limiter le trafic et des attaques occasionnelles contre des civils, des soldats et des convois de ravitaillement. Ces sièges touchent environ un million de personnes’’, comptabilisent les rédacteurs du rapport.
Pour Amnesty International, la vie de millions de personnes est en jeu dans ce pays de l’Afrique de l’Ouest de 22 millions d’habitants. La communauté internationale, poursuit l’Organisation, doit redoubler d’efforts pour que les responsables de crimes de guerre et d’atteintes aux droits humains soient traduits en justice.
Car, les Burkinabè ont le droit de vivre en sécurité et dans la dignité, et méritent un futur plein de promesses, estime Amnesty international.
HS/Top News Africa
Publié le jeudi 2 novembre 2023